Remue.net consacre un dossier à mai 68 et, allez, je fais ma pub : on peut y trouver depuis ce matin un texte qui évoque la vie de mes parents à l'époque. Il s'intitule Eux deux, nous trois.
Je n'aurais jamais eu l'idée de l'écrire si je n'avais pas lu, d'abord, celui de Dominique Dussidour qui comme eux avait vingt ans ou presque et vivait à Paris. J'aime bien l'idée qu'ils aient pu se croiser sur le boulevard Haussmann ou ailleurs, dans la foule...
Evidemment, c'est le titre du texte de Dominique (Je n'entre jamais dans un grand magasin) qui m'a d'abord frappé (mais si je me mets à parler ici de ma fascination/répulsion pour les Galeries Lafayette et le Printemps, on n'en sortira pas !). Surtout, elle commence par Je ne sais pas bien si j'ai envie d'écrire ce texte. Vous verrez, il vous reste longtemps.
Eux deux, nous trois a été écrit très vite, en pyjama, en une matinée, et proposé le soir à remue.net. Il fallait que ce soit comme ça.
Je n'aurais jamais eu l'idée de l'écrire si je n'avais pas lu, d'abord, celui de Dominique Dussidour qui comme eux avait vingt ans ou presque et vivait à Paris. J'aime bien l'idée qu'ils aient pu se croiser sur le boulevard Haussmann ou ailleurs, dans la foule...
Evidemment, c'est le titre du texte de Dominique (Je n'entre jamais dans un grand magasin) qui m'a d'abord frappé (mais si je me mets à parler ici de ma fascination/répulsion pour les Galeries Lafayette et le Printemps, on n'en sortira pas !). Surtout, elle commence par Je ne sais pas bien si j'ai envie d'écrire ce texte. Vous verrez, il vous reste longtemps.
Eux deux, nous trois a été écrit très vite, en pyjama, en une matinée, et proposé le soir à remue.net. Il fallait que ce soit comme ça.
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