celle du petit journal de François Bon, où tout le monde (et ce sont souvent les mêmes) peut noter sa journée en deux lignes. Viens de m'apercevoir que j'avais décrit un dimanche, un mardi avec les mêmes mots alors que ces deux jours n'ont en apparence rien de commun : l'un avec, l'autre sans écriture, relecture. Mais la simple suppression d'un paragraphe dans un texte de plus de 300 pages obsède...
mardi 15 avril 2008
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