Croisement qui se ferait, cette fois, en un lieu précis : la place de la bataille de Stalingrad, à Paris, au-dessus de laquelle passe la ligne 2 (reprendre le métro pour aller travailler en 2012 ? la question se pose), centre du 103 bis, ce texte corrélé à Fenêtres open space dont le début va paraître dans le nouveau numéro de la revue d'ici là ; point de départ du "décor" écrit cette année, Décor Lafayette, allez, disons, roman, en retravail (préciser, ajouter des repères, voir si l'on coupe, etc).
Fiction :
dans Décor Lafayette, au lieu de se rendre à Haussmann on pourrait bifurquer, tourner à droite, passer devant la gare du Nord, ça donnerait Franck.
On se fierait à la structure, à l'avancée du personnage, sans lien vers les grands magasins : ça deviendrait Dita Kepler.
On réduirait le grand mag à de simples boutiques, le boulevard à la rue : Décor Daguerre apparaîtrait.
On reviendrait sur nos pas, suivrait une femme au lieu d'un homme, abandonnerait la rue pour le canal de l'Ourcq : tu n'es jamais seul/e dans la nuit, entendrait-on après un concert au 104.
Ou encore, partant de Stalingrad mais décidant de se fier au panneau "Parc de la Villette Sud" au lieu de "Gare de l'Est Gare du Nord République Châtelet" (itinéraires inscrits, proposés au début de DL), arriverait-on près de la Grande halle, The Trinity Session, l'album des Cowboy Junkies en tête.
Fiction en extension, dans ce que j'en espère, du moins - imaginer un jour pouvoir tout réunir, sans rien clore.