Il fait pourtant très beau : jamais vu ou presque le 104 désert à ce point, vers midi. Nef Curial : déserte. Halle Aubervilliers : déserte. Seuls les cafés sont pleins : on retrouve l'équipe technique dans la cour de l'horloge près des salles 200 et 400, attablée en face du camion à pizzas, tandis que les gens qui travaillent à la production et l'administration investissent la terrasse côté Aubervilliers, située juste en bas des bureaux. Sinon, rien. Dans la halle Aubervilliers les ateliers sont vides : Juan Diego Vergara, les Jeleton, Sophie Barbaux et les deux Sébastien ont plié bagage. Comme me le fait remarquer Luane, l'une des agents d'accueil (prononcez accueillante) : "On a laissé les flyers sur les départs de résidence pour toi parce que tous les autres sont déjà partis". Oui...
Je lis sur une chaise longue, j'entre dans la librairie, je discute encore un peu mais rien à faire, ça sent la fin. Viravong me laisse un CD de photos, belle équipée de jeudi dernier dont je n'ai pas envie de parler ici, pas encore du moins. Je lève la tête : dans l'atelier 11 où nous fumes quelques uns à nous planquer, hier après-midi, pour assister en douce au défilé Vuitton homme printemps 2010 (savoir que les événements privés du 104 ne sont pas nécessairement accessibles à ceux qui pourtant y travaillent), plus personne à la fenêtre pour rire des spectatrices, de leurs chaussures SM.
Où aller maintenant ? Salle 200 tout est prêt pour dimanche. Au Merle nos livres nous attendent. Faustine, qui travaille à la billetterie, me fait signer Fenêtres, qu'elle lira sur la ligne 2. Je lui montre l'endroit que je préfère, nef Curial. Puis à l'accueil du Cinq, où je retourne, nous voilà tout émus, réalisant que ça se termine... Ce matin, Michael Jackson à fond dans le couloir du premier étage tandis que le 104 dormait encore, entre nous, c'était bien. Et maintenant ?
Je lis sur une chaise longue, j'entre dans la librairie, je discute encore un peu mais rien à faire, ça sent la fin. Viravong me laisse un CD de photos, belle équipée de jeudi dernier dont je n'ai pas envie de parler ici, pas encore du moins. Je lève la tête : dans l'atelier 11 où nous fumes quelques uns à nous planquer, hier après-midi, pour assister en douce au défilé Vuitton homme printemps 2010 (savoir que les événements privés du 104 ne sont pas nécessairement accessibles à ceux qui pourtant y travaillent), plus personne à la fenêtre pour rire des spectatrices, de leurs chaussures SM.
Où aller maintenant ? Salle 200 tout est prêt pour dimanche. Au Merle nos livres nous attendent. Faustine, qui travaille à la billetterie, me fait signer Fenêtres, qu'elle lira sur la ligne 2. Je lui montre l'endroit que je préfère, nef Curial. Puis à l'accueil du Cinq, où je retourne, nous voilà tout émus, réalisant que ça se termine... Ce matin, Michael Jackson à fond dans le couloir du premier étage tandis que le 104 dormait encore, entre nous, c'était bien. Et maintenant ?