Fin d'hiver ou début de printemps à Colonel Fabien, boulevard de La Villette. Photographier les bancs et l'absence de bancs, écrire sur qui s'assied par terre ou plutôt sur son sac depuis des mois, chercher ce qui n'y est plus (piquets anti-clochards, station-service) et tenter d'aller voir de haut ce boulevard qui mène à Belleville. Mais rien n'y fait : ça passe par le sol, la cime des arbres n'y peut rien.
samedi 12 juin 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Et réussir à son insu, au cinquième cliché, un discret autoportrait.
Eh oui, rien ne vous échappe !
Enregistrer un commentaire