l'horloge de la gare de Chartres

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lundi 5 avril 2010

Colonel Fabien, début de printemps

Il y a toujours ce banc, tourné vers la place qui pourtant n'a rien à offrir, si ce n'est sa circulation - ou alors, des boulistes au centre et ce soir, au JT de TF1, un reportage sur les mineurs sans-papiers qui s'y groupent lorsque la nuit tombe, à la recherche d'un hébergement. On dirait, malgré son objectivité, revendiquée sûrement, brandie haut, sa quête d'équilibre du moins, que le commentaire grince, cherche des appuis, ébauche une pensée, ne va pas au bout.

(ou alors j'ai mauvais esprit) (c'est sûrement ça)

(ah, ce très léger appui sur enfants, mot que la loi emploie pour parler des ados de moins de dix-huit ans qu'elle scolarise-héberge-nourrit, comment l'interpréter ?).



Il y aussi, place Colonel Fabien, un début de printemps et c'est de lui, je croyais, que je voulais parler.




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