Fin d'hiver ou début de printemps à Colonel Fabien, boulevard de La Villette. Photographier les bancs et l'absence de bancs, écrire sur qui s'assied par terre ou plutôt sur son sac depuis des mois, chercher ce qui n'y est plus (piquets anti-clochards, station-service) et tenter d'aller voir de haut ce boulevard qui mène à Belleville. Mais rien n'y fait : ça passe par le sol, la cime des arbres n'y peut rien.
Et réussir à son insu, au cinquième cliché, un discret autoportrait.
RépondreSupprimerEh oui, rien ne vous échappe !
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