Tout est très court dans ce blog, tout est très fragmenté seulement parce que je n'ai pas le temps. Pas même le temps d'écrire sur le pas le temps (et ce message date de quatre jours déjà), le boulot alimentaire bouffe, impossible de l'écrire autrement, je tente bien de lui donner des coups de lattes en lui cherchant un pseudonyme (me dire que c'est le pseudonyme qui le fait, le travail), en achetant un nouveau carnet que j'appelle Echappés de la cage mais non rien à faire, pas le temps : là non plus, dans le carnet, il n'y a rien d'écrit.
Le soir je pose un casque de chantier sur mes oreilles, c'est un casque anti bruit.
Je ferme les yeux dans le noir.
Pas le temps, même plus celui du trajet. Salut aux télétravailleurs bouffés par leurs commandes, dead-lines, les missions impossibles. A ceux qui pour manger se renient, en riant, en se rongeant, achètent des journaux qu'ils n'ont pas le temps de lire. A ceux qui n'arrivent plus à lire. Mal aux yeux, mal aux doigts, mal aux os. Salut à vous. Et qu'on s'écrire, hein!
Le soir je pose un casque de chantier sur mes oreilles, c'est un casque anti bruit.
Je ferme les yeux dans le noir.
Pas le temps, même plus celui du trajet. Salut aux télétravailleurs bouffés par leurs commandes, dead-lines, les missions impossibles. A ceux qui pour manger se renient, en riant, en se rongeant, achètent des journaux qu'ils n'ont pas le temps de lire. A ceux qui n'arrivent plus à lire. Mal aux yeux, mal aux doigts, mal aux os. Salut à vous. Et qu'on s'écrire, hein!
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