(Déversées de Christine Jeanney)
Il se passe tellement de choses, cette semaine, de la coupe du monde à l'affaire Benalla, que tout se déverse, littéralement : résultats de finale, joies, foules dans les rues, vidéos, scandales... L'image de Macron sautant en tous sens devant la victoire date déjà du siècle dernier. Je suis le feuilleton, rien à ajouter si ce n'est qu'à cette date, d'habitude, c'est le début de la morne plaine - je déteste l'été, l'ai déjà sans doute noté sur ce blog un jour.
Saint-Germain suit son petit trot (en nombre de signes, en suis à la moitié de ce que je voulais faire, ce sera sans doute plus). Ce serait bien d'avoir fini avant la rentrée, me dis-je, surtout si Volte-face met encore mille ans à se faire publier. Mais pas de pression, pas de projection, toujours...
Etrangement, la fatigue permet d'écrire (enfin, pas tout), mais pas de lire. D'où l'absence des 36 secondes que je comptais reprendre, alors que les beignets de lecture de L'aiR Nu, eux, ne cessent de se multiplier.
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