Il est inconcevable qu'il ne soit plus là et pourtant c'est le cas.
En ce jour où je n'ai pas réussi à me rendre sur l'île de Cézembre où ses cendres viennent d'être dispersées, où je n'ai pu monter dans le bateau, je cherche des photos de mer pour l'accompagner.
Je cherche. Je ne sais s'il faut ici poster le texte écrit pour lui, lu à Saint-Malo vendredi quand déjà je ne pouvais y être. Je ne sais pas, vraiment, mais j'aimerais l'accompagner.
Penser à lui, c'est nous revoir à 14, à 15, à 22, à 38 ans (lui et moi du même âge jusqu'à la semaine dernière), sur une île ou en ville. Sa haute silhouette, ses yeux verts, sa grande beauté et son rire, ses provocations, sa générosité, tout cela se promène, continue de se promener de la plage à la rive.
Penser à lui, c'est nous revoir à 14, à 15, à 22, à 38 ans (lui et moi du même âge jusqu'à la semaine dernière), sur une île ou en ville. Sa haute silhouette, ses yeux verts, sa grande beauté et son rire, ses provocations, sa générosité, tout cela se promène, continue de se promener de la plage à la rive.
(Barcelone Sanary une calanque de Marseille : endroits où tu es peut-être passé mille fois, cousin voyageur)
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