J'attendais, pour mettre à jour cette rubrique qui fait le point sur les projets en cours, de pouvoir annoncer la bonne nouvelle. Enfin, voici : Décor Lafayette paraîtra en janvier prochain aux éditions Inculte, sous le label Fiction (c'en est). Consacré aux grands magasins, faisant apparaître des personnages réels et imaginaires, dont quatre géantes, jouant sur différentes strates de temps (le XVIIIe siècle, 1964, l'époque contemporaine...), DL est vraiment un livre complètement barré, selon mon éditeur : vous voilà prévenus !
En attendant, je continue ici d'en poster des extraits, avec photographies (ci-dessus, la cage d'escalier des Galeries, sur laquelle je me suis longuement penchée) et prépare la lecture prévue en novembre à Marseille avec Jean-Marc Montera. Dans l'idéal, en janvier, j'aimerais également en proposer une version numérique, différente de la version papier. On verra...
A propos de Marseille, Pierre Ménard et moi venons de terminer notre voyage virtuel, Laisse venir, dont quelques extraits sont disponibles ici, ici , là et là. Nous devrions également présenter ce texte à Marseille cet automne. J'y reviendrai dès que je saurai sous quelle forme et où il sera disponible.
Ce que je peux dire, déjà, c'est que nos trajets, nés d'une même contrainte, sont très différents l'un de l'autre, ce dont je me réjouis.
Une fois les corrections de Décor Lafayette bouclées, je reprendrai le texte entamé lors de ma résidence à la villa Marelle, Anamarseilles, variation pour Dita Kepler, texte court et, disons, plus proche de la poésie que de la prose. Dans l'idéal, il faudrait avoir terminé avant septembre, époque où je me remettrai à Décor Daguerre (le Décor II) (le III étant Dita Kepler) (et le I Décor Lafayette, bien sûr) (ce qui ne s'écrit pas nécessairement dans l'ordre) (hum, est-ce clair ?). Cela devrait m'occuper quelques mois (j'en parle ici depuis 2009, il serait temps !)
(ci-dessus, deux oloé de la Friche)
A propos d'oloé, autre bonne nouvelle : mon livre, édité l'an dernier par D-Fiction, devrait paraître avant la fin de l'année en espagnol (d'où cette chaise dans le ciel prise à Barcelone), en version imprimée. Donde leer, donde escribir : comment dire oloé en espagnol ?
(J'ai l'air de trouver ça naturel ? Ne pas s'y fier : si je ne me retenais pas, il y aurait trois points d'exclamation à la fin de toutes mes phrases, dans ce post !)
Enfin, qui dit anthologie dira, en août ou en septembre, Pas d'ici, pas d'ailleurs, recueil préfacé par Déborah Heissler (avec laquelle j'ai vase-communiqué ce mois-ci) paraissant aux éditions Voix d'encre, en partenariat avec la revue Terres de femmes. J'avais proposé, il y a longtemps déjà, deux poèmes à Sabine Huynh, Angèle Paoli, Andrée Lacelle et Aurélie Tournière. Je suis vraiment touchée qu'elles les aient acceptés : l'un a été écrit à l'époque de Franck (je devais avoir, alors, dans les 22 ans), l'autre quelques années après.
(Gens de Lille et Béthune, s'intitule le premier)
(ici, une chaise de Béthune, prise au Lab-Labanque, photo qui se trouve dans les Oloé)
Quant à Franck : tant bien que mal, Dans la ville haute continue d'avancer. Si je peux, je mettrai à jour la partie journal cet été (voeu pieu). Par ailleurs, Thierry Beinstingel et moi avons toujours dans l'idée de reprendre notre lecture croisée de Autour de Franck.
Et avec tout ça, j'ai oublié de parler de Saint-Brieuc, où je devrais me retrouver en septembre et octobre prochains.
Ecrire en marche, toujours...
6 commentaires:
une bonne maison... une affaire qui marche... ça roule... quoi d'autre ? Les vacances ? ça n'existe pas... Alors écrire ? Ah oui. Ecrire, dit-ellle... Bravo et tous les encouragements de ce côté-ci de Belleville
on va quand même essayer d'en prendre un peu(avec ou sans manuscrit sous le bras ? hum...)
Merci pour les encouragements bellevillois (tu devrais aller à Col Fab voir les voitures de Gondry ce matin, m'est avis !) (bises)
je les ai déjà vues à Botzaris il y a quelques semaines.. elles sont roigolottes comme tout... (vu le suédois hier u avant tout sourire... qui prenait le métro ... )
sans blague ?
ça m'épate encore plus que les voitures !
à Jaurès remarque...
on l'aurait vu au café, également...
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