(ci-dessus, à Barcelone)
Je l'avais dit ici il y a déjà longtemps : les traducteurs du collectif Le Bateau, qui ont, depuis, publié le recueil Todo esta perdido comprenant des textes de Christine Jeanney, Joachim Séné, Christophe Grossi et Emmanuel Delabranche, aimeraient traduire et diffuser en Espagne mon livre Des Oloé, espaces élastiques où lire où écrire. Seulement, pas facile en ces temps de crise de mener à bien ce genre de projet : un financement extérieur s'avère indispensable. Or, qui dit financement dit demande, dossier à monter, à remplir...
Le Bateau m'a donc demandé de présenter, pour eux, ce texte, d'évoquer l'écho qu'il a pu avoir depuis sa sortie en 2011 chez D-Fiction. J'ai alors pensé à ceux qui se sont appropriés le mot oloé, en particulier sur les réseaux sociaux (et ce, sans plus le rattacher à mon livre, autonomie dont je me réjouis).
J'adresse donc ici un appel à tous ceux qui voudraient bien m'envoyer quelques mots sur leur(s) usage(s) du mot oloé, en une ou plusieurs phrases que je pourrais citer dans le dossier. Cela pourrait peut-être plaire à l'Institut auquel le Bateau compte s'adresser... Bien entendu, je m'engage à vous donner ensuite des nouvelles, dès que j'en aurai.
Merci d'avance à tous !
6 commentaires:
Un billet de blog ça peut faire ou tu préfères un mot en privé ?
un billet de blog c'est encore mieux, je pense
merci Gilda !
OK, je vais essayer de faire ça.
Il faudra que je relise demain mais voilà :
http://gilda.typepad.com/traces_et_trajets/2014/01/olo%C3%A9s-veri.html
(à prendre plutôt comme de la matière première dans laquelle piocher, parce que c'est parti un peu dans tous les sens en fait)
si c'est encore mieux, je m'en vais en faire un (j'ai là justement quelques oloé -car le mot est invariable, comme tu sais (?) - dont je ne savais pas exactement quoi faire) (un billet, certes)
comme ça, c'est fait
http://www.pendantleweekend.net/
Enregistrer un commentaire