donc vous nagez comme MS ? c'est vrai que la mer calme aussi... enfin je veux dire l'eau : la mer, méditerrannée, c'était quand j'étais petit, à 300 mètres d'elle, et que je la voyais bleue des fenêtres du lycée (j'avais 5 ou 6 ans, mais ça s'appelait le lycée alors)
Oui, plusieurs fois par semaine, et la mer près de la ligne 2 s'appelle plutôt la piscine Pailleron ! La Méditerranée, tiens, y ai passé toutes mes vacances d'enfance - disons que je suis deux tiers parisienne, un tiers provençale... Quant à ce qu'on pouvait voir de la fenêtre de mon école, à 5 ou 6 ans, c'était plutôt la rue de Clignancourt, dans le 18e. Une rue qui grimpe, et comme je n'allais jamais jusqu'en haut, je croyais qu'après il n'y avait plus rien, que c'était la fin de la terre. Je l'appelais le néant. Puis, un jour, vers 25 ans, alors que je prenais le bus, je me suis aperçue que j'y étais, dans le néant (du haut de la rue de Clignancourt) ! Drôle d'effet...
de quoi ? de quoi ? je n'écris pas assez sur ce blog, c'est ça ?
C'est-à-dire que ce que je trouve passionnant (terminé hier soir la rédaction d'un livre qui m'a pris trois ans, et reçu ce matin les épreuves de mon nouveau bouquin à sortir en septembre) n'est pas forcément passionnant pour tout le monde, j'imagine. Enfin j'en parlerai de ces deux bouquins, quand même, sur mon blog, un de ces jours (surtout que l'un est une variation de l'autre). En attendant, préparons-nous pour la lecture à Marseille (une grande première !). Et merci de passer par ici, quoi qu'il en soit.
J'ai un léger déficit technique pour laisser des messages ici : parfois, j'en laisse, ils apparaissent, parfois non(le premier c'était pour la chanson en premier lieu de vos livres préférés) alors non, vous écrivez comme vous voulez sur votre blog (je confirme : il est à vous) pas de souci... continuez, travaillez, écrivez, chantez... bon courage pour les projets
ah, j'espère que mon dernier message n'a pas eu trop l'air... vitupérant ? C'est que je venais de boire pour fêter la fin de mon bouquin (pas trop quand même !)
vous avez bien fait d'arroser ça... moi, je fais des enquêtes et quand ça se termine, je suis le plus heureux des hommes : enfin ! (mais faut que ça recommence, parce que le proprio, l'eau le gaz etc. vous connaissez): bon j'ai mis le message ici, pourquoi, on ne sait pas...
Ce blog, centré au départ sur mon premier livre, Fenêtres Open space, évoque depuis les autres textes parus (Cowboy Junkies ; Franck ; Des Oloé ; Autour de Franck ; Décor Lafayette ; Dita Kepler, Journal du silence ; Laisse venir ; Ile ronde ; Anamarseilles), inédits (Journal du Blanc), nouveautés (Décor Daguerre, A même la peau) ainsi que le site collectif L'aiR Nu et notre livre commun, Une ville au loin. L'idée : à l'aide de photos, d'autres textes, de liens, travailler sur l'extension.
NB : les vignettes des couvertures mènent aux pages web des éditeurs ou à des informations concernant les textes.
8 commentaires:
donc vous nagez comme MS ? c'est vrai que la mer calme aussi... enfin je veux dire l'eau : la mer, méditerrannée, c'était quand j'étais petit, à 300 mètres d'elle, et que je la voyais bleue des fenêtres du lycée (j'avais 5 ou 6 ans, mais ça s'appelait le lycée alors)
Oui, plusieurs fois par semaine, et la mer près de la ligne 2 s'appelle plutôt la piscine Pailleron !
La Méditerranée, tiens, y ai passé toutes mes vacances d'enfance - disons que je suis deux tiers parisienne, un tiers provençale...
Quant à ce qu'on pouvait voir de la fenêtre de mon école, à 5 ou 6 ans, c'était plutôt la rue de Clignancourt, dans le 18e. Une rue qui grimpe, et comme je n'allais jamais jusqu'en haut, je croyais qu'après il n'y avait plus rien, que c'était la fin de la terre. Je l'appelais le néant.
Puis, un jour, vers 25 ans, alors que je prenais le bus, je me suis aperçue que j'y étais, dans le néant (du haut de la rue de Clignancourt) ! Drôle d'effet...
bon alors, c'est quoi, le bazar ? les vacances ? une panne d'internet ? ou bien ...?
de quoi ? de quoi ? je n'écris pas assez sur ce blog, c'est ça ?
C'est-à-dire que ce que je trouve passionnant (terminé hier soir la rédaction d'un livre qui m'a pris trois ans, et reçu ce matin les épreuves de mon nouveau bouquin à sortir en septembre) n'est pas forcément passionnant pour tout le monde, j'imagine.
Enfin j'en parlerai de ces deux bouquins, quand même, sur mon blog, un de ces jours (surtout que l'un est une variation de l'autre). En attendant, préparons-nous pour la lecture à Marseille (une grande première !).
Et merci de passer par ici, quoi qu'il en soit.
J'ai un léger déficit technique pour laisser des messages ici : parfois, j'en laisse, ils apparaissent, parfois non(le premier c'était pour la chanson en premier lieu de vos livres préférés) alors non, vous écrivez comme vous voulez sur votre blog (je confirme : il est à vous) pas de souci... continuez, travaillez, écrivez, chantez... bon courage pour les projets
ah, j'espère que mon dernier message n'a pas eu trop l'air... vitupérant ? C'est que je venais de boire pour fêter la fin de mon bouquin (pas trop quand même !)
vous avez bien fait d'arroser ça... moi, je fais des enquêtes et quand ça se termine, je suis le plus heureux des hommes : enfin ! (mais faut que ça recommence, parce que le proprio, l'eau le gaz etc. vous connaissez): bon j'ai mis le message ici, pourquoi, on ne sait pas...
mais c'est très bien, le bazar dans les commentaires me va très bien !
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