merci à Hélène Clemente de m'avoir indiqué ces musiciens clandestins qui font d'un appartement leur instrument privilégié ; une vidéo à découvrir également à la fin de son article Les frontières déplacées.
lundi 26 octobre 2009
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2 commentaires:
Ah Marcelllo hein...! (tu imagines qu'il y a un café bar en face de la cinémathèque qui s'appelle Mastroianni ? Pourquoi pas en même temps, mais quand même (rien à voir avec les batteurs, mais c'est furieux, cette vidéo...)
oui, furieux, c'est le mot !
Quant à Marcello (pour ceux qui passent par ici : des aller retours avec le petit journal du Tiers Livre s'imposent pour comprendre quelque chose !), il fume sa clop sur une affiche que j'ai trouvée à Rome, et je le vois donc chaque matin...
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