l'horloge de la gare de Chartres

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mercredi 9 novembre 2011

Cowboy Junkies, Divan du Monde, hier



















Trois photos seulement, trois photos de secours parce que la carte SD de l'appareil oubliée dans l'ordinateur. 














La première de Margo à peine arrivée en scène, tasse de thé à la main, comme si de rien n'était (la tasse sera posée derrière le bouquet de fleurs).


















La deuxième de Michael, aussi flou que sur la pochette de The Trinity Session, dégaine adolescente, ne jouant qu'assis.


La troisième de Margo durant Sweet Jane.

Sweet Jane, le tube ? Bien sûr, reprise de Lou Reed qu'elle chantera, prévient-elle au début, après une succession de titres venus des trois derniers albums. Sweet Jane apparue au milieu du concert, immédiatement identifiable. De The Trinity Session on entendra également 200 more miles, que j'adore, et Working on a building, précédé d'une très longue et très envoûtante intro. 
Hommage à Vic Chesnutt, sans rien qui pèse.
De l'humour, toujours, sur cette propension à écrire et à chanter des chansons tristes.
Anti-stars au possible, les Cowboy Junkies, restés calmes de bout en bout (pas de Common disaster en vue).

La fin du concert arrive. On se demande, un peu déçus je pense, tous, on espère, attend. Ils reviennent en rappel (salle comble) : encore une chanson de l'un des trois derniers albums (ils ont pris le pari d'enregistrer quatre disques en 18 mois, en sont à trois).

Enfin, Misguided angel, qui est évidemment la chanson de mon livre (je n'ai jamais démenti quand on m'a parlé de Sweet Jane ou de To love is to bury, mais enfin, en vrai, c'est bien celle-là qui compte).
Et ce qui s'appelle la ferveur.

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