l'horloge de la gare de Chartres

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dimanche 21 janvier 2018

Semaine #3 night and days



















Chose promise, chose due : le général Instin m'envoie une photo de lui-même affublé de la chevelure  warholienne de Marilyn : merci Général ! 

Pour le reste, la semaine commence de façon moins flamboyante : il faut finir d'organiser la Nuit de la lecture à la Vallée aux Loups et les événements ultérieurs en manquant de sommeil. Textes à lister, documents à formater, branchements, écrans, enceintes, fichiers, horaires à prendre en compte, paperasse à dompter, calendrier à mettre en place, répondre à tous, rappeler, communiquer, ne pas oublier de..., tandis que la poste ne joue pas le jeu, perd des lettres importantes. C'est s'accrocher aux todo lists, remettre à plus tard toute élaboration, création.

réduire la voilure
se concentrer sur une seule chose
parler aux autres le moins possible

le soir, regarder la nouvelle vidéo de Marina, la jeune femme de L'eau douce
(à agrandir, ici les vidéos débordent)
(penser à changer de maison virtuelle tandis que Marina déménage ?)


Est-ce que la douceur est question d'organisation ? Est-ce qu'il s'agit d'une construction ?

mercredi Aller la chercher, cette douceur, ce sera en tout cas ce que je ferai à Chartres ces six prochains mois. Je n'en parlais pas jusqu'à présent car cela n'avait pas été annoncé mais c'est désormais officiel : la très bonne nouvelle de ce début d'année, c'est que je suis en résidence autrice associée à la librairie L'Esperluète jusqu'à fin juin. D'ailleurs, voici déjà ma page sur le site ! Il n'y a pas grand chose encore mais le calendrier va se remplir. De bruit et de douceur, tel sera le nom que je donnerai à l'ensemble des interventions qui seront liées à mon prochain projet d'écriture.

Trouvé d'abord en arrivant cet












(cliquez pour agrandir) puis ce qui pourrait devenir mon













de la ville. Ensuite, des signes, des lettres, le nom de cette ville...













(comme pour l'hôtel, agrandissez, regardez bien)

























et ce mystérieux


















Enfin, c'est l'Esperluète, et le premier cahier carnet de la résidence :













Douceur du trajet et de la journée, des rencontres et des perspectives : comme si le sujet s'était imposé, ce mercredi-là, alors que nous préparions le calendrier. Dans le train, pourtant, voilà ce que je lisais :














Au retour, agenda bien rempli, il faut régler les derniers détails de cette Nuit de samedi pour laquelle l'équipe de la Vallée aux Loups, la médiathèque de Chatenay-Malabry et L'aiR Nu ont beaucoup travaillé, je crois qu'on peut le dire.













Voici la bibliothèque de la maison de Chateaubriand transformée, prête à accueillir les enfants (que nous ne verrons quasiment pas, nous, sauf lorsqu'ils passeront dans le cabinet Girodet où Joachim Séné écrira un texte)



















la salle de réunion devenue loge (pendre la robe, occuper le terrain)













les "nuits" de Joachim sur le bureau de François-René













les écrans que nous allons disséminer pour lire, faire voir, faire entendre... Photos prises, comme on le comprend, avant que la soirée ne commence : ensuite, c'est plonger dans le grand bain.

Dans la salle à manger, on peut entendre des lectures enregistrées mixées avec des bruitages de nuit du monde entier : vous pouvez aller les écouter, vous aussi, puisqu'elles se trouvent ici. Un conseil : relaxez-vous, la page se lance toute seule. 34 morceaux, c'est parfait à l'heure de la sieste, par exemple ! (il était question de douceur, tout à l'heure, n'est-ce pas ?)

A ce propos, (Ni bruit ni fureur), cette autre vidéo de la semaine :



La semaine prochaine, ici-même, on parlera Droits de cité je pense (avec Delphine Bretesché, nous sommes invitées par la Maison des écrivains aux Enjeux contemporains de la littérature jeudi).
Bonne semaine à tous !

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