Un matin nef Curial on arrive et le banc à lumières, tentacules, échappées vertes de Sébastien Wierinck a disparu. Assises multiples, rondins sous les fesses dont la rigidité n'invitait pas à y rester des heures mais permettait d'oser s'y allonger, observer la verrière (le ciel), se cacher dans un creux... plus rien. Le banc reviendra-t-il ? A-t-il migré définitivement ? A force on ne sait plus : de l'extérieur certains accusent le 104 de vide mais il s'en passe tant que pour tenir le compte...
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Curial déserté attend Mon oncle et sa villa Arpel.
Banc est
fictif.
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