l'horloge de la gare de Chartres

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mercredi 2 septembre 2009

Fenêtres d'Aix-en-Provence


Aix, août 2009.

Exposition Picasso/Cézanne et trombes d'eau soudaines.




















Je me souviens d'Aix-en-Provence, où j'ai vécu six mois durant l'enfance, chemin du Coton rouge. Je ne me souvenais pas qu'on pouvait y voir si facilement la montagne Sainte-Victoire.

Je me souviens de l'autoroute qu'il fallait longer, de la barre d'immeubles qui nous faisait face, d'une micheline qui roulait encore et du centre-ville où nous nous rendions rarement : fontaines à lions et dauphins, cours Mirabeau où les enfants pouvaient zigzaguer en liberté les soirs de beau temps (souvenir vague).





















Je ne me souviens pas du tout d'Hitchcock et Welles à ventre plat, soutenant les fenêtres du cinéma Le Mazarin.













Ni des trompe-l'oeil.










Ni du café Les Deux garçons, qui pourtant existe depuis 1792. Sur la carte on peut lire qu'y sont venus Cendrars, Cocteau, Sartre, Churchill, Picasso, Piaf et avant eux Zola, Cézanne, puis des contemporains un poil moins prestigieux (Tino Rossi...). "Les Deux garçons" parce qu'en 1830, deux garçons de café se sont associés pour le racheter.













Le monde est en terrasse. Nous voilà seuls en salle devant les reflets et dorures.

3 commentaires:

PhA a dit…

Chouette, les ventres plats.

Anne a dit…

Oui, ils me plaisent bien aussi !

Anonyme a dit…

oh, et la plus belle fontaine, c'est la place d'Alberta!