Elle marche silencieuse dans les galeries de bois, en a pris l'habitude, n'y croise jamais personne. Au-dessus de sa tête une verrière qu'elle frôle - c'est un ciel en toit double, six dais de papier peint que les oiseaux traversent.
lundi 2 janvier 2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire