l'horloge de la gare de Chartres

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jeudi 15 juillet 2010

Berlin, I : Fenêtres et verrière du Sony Center




















































Berlin, Sony Center, juillet : s'asseoir après une longue marche, lever les yeux, les baisser, découvrir une infinie variété de jambes, shorts, mollets, genoux, sandales, chevilles, tongs, orteils, cuisses, tailles, épaules, oreilles, coiffures, nuances de gris et de bleu.

6 commentaires:

cjeanney a dit…

wouah !
(oui, c'est pas original comme réaction mais c'est la retranscription vraie du son émis à ces vues, séquence témoignage :-))

Anne a dit…

Ah, c'est drôle, Christine, parce que je pensais justement à ce que tu écris en tapant mon petit texte !
Et merci pour le wouah !

Anonyme a dit…

ce sont les reflets qui parlent à ce qu'il me semble... bonnes vacances (dépaysement, changement d'air mais ça reste urbain, moi aussi bientôt et j'en ai bien besoin)

Anne a dit…

Ca reste urbain mais ô combien plus apaisé! Bonnes vacances à toi aussi.

cjeanney a dit…

Justement, tant qu'on est entre nous, j'ai pensé à ta voix dans un de mes textes, pas à une autre, à la tienne : "Les voix fines étaient calmes. Non pas centrées sur l’effet qu’elles voulaient produire mais tournées vers l’intérieur d’elles-mêmes, comme en lévitation. Les voix fines ne s’écoutaient pas, ne se roulaient pas dans l’épaisseur de leurs sons comme de vulgaires chiots, mais se tenaient debout, immobiles. Les voix fines parlaient plus haut."
Comme quoi les pensées naviguent, des vrais avions de papier dans l'espace :-)

Anne a dit…

Merci beaucoup, Christine. Et je range précieusement cet extrait dans mon carnet secret...