l'horloge de la gare de Chartres

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lundi 14 avril 2014

Journal du Blanc #13















Cet épisode du journal va être très court, fatigue et début de migraine y sont pour quelque chose, je me dépêche. 
Tout de même, noter le soleil et l'arbre face au logis, passé du nu au vert. Se dire aussi que le palais de justice est devenu, pendant mon absence, une surface triangulaire : pourquoi donc ? 
Tout simplement parce qu'il manque encore un angle à mon rectangle, constitué du palais, d'Emmaüs, du cinéma et de... Que je m'en approche ou non, je crois qu'à la fin de la semaine je parlerai un peu de ce quatrième côté. 














En attendant, même mon bureau-rectangle me fait signe de penser triangle. 

*

Glanés pour cette journée : 
- la verrière (rectangles ? triangles ?) du café de l'Hôtel de la gare, à Châteauroux, où j'ai attendu le car pour le Blanc
- les camions-rectangles de la route qui mène à Super U (dont il faudra également que je dise un mot un de ces jours)
- Pâle septembre, la chanson de Camille réécoutée en marchant sur cette route (et qui se trouve dans Franck, livre dont on m'a reparlé il y a peu, voilà pourquoi)
- ces pensées qui traversent durant les insomnies : billets de blogs en retard, texte à relire, texte à écrire, dossiers à monter, mails auxquels répondre... 
Et bien d'autres choses encore.

1 commentaire:

gilda a dit…

Je viens grâce à toi enfin de piger pourquoi je parvenais si peu à garder le fil de mes pensées dans ma vie, tout entière prise par un au jour le jour sans parvenir à structurer ce que j'y produis : je dors le plus souvent comme une enclume, jamais un seul instant posée sans m'endormir ou me rendormir. Et les temps d'éveil sont des temps d'action.
Il faudrait pouvoir faire des échanges pour rééquilibrer.