l'horloge de la gare de Chartres

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samedi 2 février 2013

Nantes































La semaine prochaine (mercredi, plus exactement) je serai à Nantes, au Lieu Unique, pour parler écriture et numérique avec Yves Pagès et Guénaël Boutouillet. Il sera certainement question de la Ville haute et de Franck à un moment ou à un autre, je m'y attends, comme on attend ce qui arrive, là, devant soi, sera ou ne sera pas contourné. 
Certaines choses sont frontales, d'autres non. Frontal ce qu'on n'attendait pas, bien sûr. Frontal ce qu'on savait aussi, avait anticipé, est inévitable, prend une autre forme. 

Nantes n'est évidemment pas n'importe quelle ville.
Mais c'est aussi une ville où j'ai des amis (de la vie au présent).

C'est pourquoi j'illustre ce billet avec trois photos qui diront mieux que moi ce que je pourrais en dire. La première représente une fontaine devant laquelle Franck est certainement passé (mais je n'en sais rien). La deuxième montre le plafond des Galeries Lafayette de Nantes, lieu où j'imagine il n'a sans doute pas mis les pieds (mais je n'en sais rien). La troisième est un vrai décor : celui, reconstitué par Agnès Varda, de la boutique de téléviseurs de Michel Piccoli dans Une chambre en ville. Magasin éphémère, apparu dans le passage Pommeraye l'été dernier, disparu depuis. 
Une photo pour chaque livre, ou projet en cours, chaque texte délivrant de l'autre - et tous liés, cependant.

Ainsi, il me semble, je réponds par avance aux questions posées par Guénaël mercredi prochain à propos de mes usages du numérique, de ce qu'ils changent ou ne changent pas, sur les statuts de [mes] textes et [mon] regard dessus, sur l'ouverture de l'atelier aux autres (ces derniers mots sont de lui, je les ai empruntés).

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