on pourrait ainsi dire
sommeil sous la contrainte le taire et s'extirper descendre l'avenue monter dans le métro trop tôt pour bien le lire froid et chaleur alternent au changement d'avant 2011 2 et 9 éveil et souvenir en station vont de pair les couloirs sont des quais sur le quai de Nation demeure l'ancien espoir que quelque chose advienne même si a tourné court enfin qui peut le dire
vente de fruits et de chants
demeurent les stations Paris et sa frontière savoir le 127 départ Croix de Chavaux air vif à la sortie nuit qui peine à me fuir et les pistes possibles cette rue ou telle autre trajet sous la contrainte droit devant par Fontenay leur tourner donc le dos et grimper dans le bus
plus de calculs
les minutes à revers
au carrefour Parapluies bien nommé voir venir cet ancien restaurant celui d'après concerts dans une vie d'avant micro paroles rythmes en rêver à nouveau
terminus La Paix un homme à la fenêtre au-dessus du tabac et deux heures plus tard il en est là toujours détailler bras croisés la passante du matin et dans le 127 elle ne sait plus choisir entre Paris Montreuil où s'arrêter enfin
Pluie et vent d'Abbas Kiarostami est l'un de mes livres favoris
2 commentaires:
non mais les appareils photos qui font le point sur les vitres, jte jure... et toi, deux billets en deux jours, c'est quoi ce bazar ? en même temps, les photos sont chouettes comme tout (il est bien ton texte, "les couloirs sont des quais les quais vont par paire") (elles sont bien tes photos)
merci !
(le deuxième billet : d'après défi d'un qui habite dans le quartier, je dirai...)
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