Le sixième numéro de la revue d'ici là, éditée par publie.net et dirigée par Pierre Ménard, est paru hier. Son thème : L'immobilité de celui qui écrit met le monde en mouvement.
Je l'écoute, la regarde en écrivant ce post (quoi, ce n'est pas possible ?) et subis une sorte de fascination. C'est le cas à chaque fois mais peut-être plus encore aujourd'hui. Est-ce parce qu'elle change de rythme de croisière pour ne plus paraître que deux fois par an ? Je ne pense pas : elle est précieuse quoi qu'il arrive. Mais raison de plus de la lire longuement, d'y revenir.
Comme les cinquante-deux autres auteurs, j'en suis sûre, je me sens on ne peut plus fière de participer à cette aventure qui (me) secoue, percute.
(pour découvrir comment elle est conçue et réalisée, un tour sur Liminaire s'impose)
2 commentaires:
je pourrais reprendre ce billet mot à mot, suis ici copie conforme :-)
c'est marrant, comment dire ? Ca ne m'étonne pas ! Bises, Christine - et si on se disait qu'en 2011 on se rencontre, tiens, une idée comme ça..?
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