Florence Aubenas, Le Quai de Ouistreham, page 26.
samedi 27 février 2010
Ne pas s'asseoir
Florence Aubenas, Le Quai de Ouistreham, page 26.
samedi 20 février 2010
Ecouter Nathalie Sarraute
Tropismes lu par Nathalie Sarraute, qui en explique la genèse, Madeleine Renaud et Isabelle Huppert.Trois notes de piano entre elles. Retrouver la voix douce de Madeleine Renaud entendue il y a peu dans la nuit, nouvelle de Maupassant qu'on aurait crue écrite pour elle (par elle). Se souvenir de Harold et Maud au Théâtre de la ville. Se souvenir de Nathalie Sarraute écoutée sur cassette, texte lu par l'auteur, chaque mot détaché, si bien lié au suivant, cassette désuète, retrouvée sans pouvoir rien en faire. Se souvenir d'Isabelle Huppert dans Les Cahiers du cinéma parlant de Nathalie Sarraute. Se rappeler aussi le petit cheveu sur la langue d'Isabelle Huppert, maîtrisé de plusieurs manières, donnant à la phrase son léger, continuel suspense. Revenir à la voix de Nathalie Sarraute, proche de la pierre, quand celle de Madeleine Renaud évoque le bois clair, celle d'Huppert le fer, le verre (mais pourquoi penser, inévitablement alors, aux toits du Grand Palais ?).
Violences. Rapports de force. Menaces, conversations, dissections, l'expression une femme d'intérieur entendue dans un salon de thé...
Lumière d'un pan de mur, venu de l'enfance on le suppose, qui dans la nouvelle vie ne sert plus.
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vendredi 19 février 2010
oloé 5 : écrire en marche
Quand ce qu'on écrit pousse au voyage, même court, même d'une journée : thème de l'oloé 5, à retrouver à partir d'aujourd'hui sur mélico.
(photographie : Lille, septembre 2009)
jeudi 18 février 2010
16h29, Nation, direction Boissy
Voilà ce qu'elle m'avait dit. On levait la tête : 29 devenait 30, qui devenait 32, retournait à 31, bondissait à 34...
Ce fut 34. Puis trois heures de cabine, ou presque, qui passèrent comme une.
Il y a tout ce que les photos ne montrent pas, qu'on voudrait garder, ne pas mettre en mots encore.
Une autre fois, peut-être.
vendredi 12 février 2010
écouter
Magali Brénon et Béatrice Rilos à Marseille ; Arte Radio, toujours ; le feuilleton de Claire Fercak dans Les Passagers de la nuit ; Les Pieds sur Terre, dès que possible ; L'Oeil du larynx qui, après l'art, s'intéresse à la science ; tous les titres des Cowboy Junkies en streaming ; les pages 48 de Pierre Ménard ; l'hommage à Kriss sur France Inter ; un extrait d'un de mes disques préférés chez KMS ; les émissions de Zoé Varierjeudi 11 février 2010
lire
des mots, des notes, des phrases, des mots sous les ratures, des manuscrits, de nombreux billets, des textes sur des blogs, des sites, des textes publiés en ligne dans des revues, sur d'autres blogs, par des éditeurs, des livres pris à la bibliothèque, des livres offerts, achetés dans des librairies, chez des marchands de journaux, des articles de quotidiens, de magazines, des textes découverts par hasard, des livres pour enfants, une bande dessinée, des sous-titres de films, un petit journal, son propre journal, des articles que l'on écrit sous un autre nom que le sien, des livres audio, des textes lus à voix haute lors de lectures publiques, des textes qui parlent de livres, des livres qui parlent d'écriredimanche 7 février 2010
nouvel appareil
Qu'est-ce que ça change, un nouvel appareil-photo ? Sans avoir pris le temps de l'explorer, être allé simplement chercher la position nuit
avoir trouvé là où ça se branche, là où ça se recharge, là où ça se connecte, c'est à peu près tout
avoir bouclé la résidence avec
et parfois c'était facétieux
et puis ?
Un dossier photos au nouveau nom de code créé par l'ordi - et ce qu'on imagine, ce qui s'esquisse à peine au moment de l'ouvrir.
vendredi 5 février 2010
neige et jardin
Pas de Vases communicants pour moi aujourd'hui, premier vendredi du mois, mais deux photographies, l'une envoyée par Lionel André, poète et randonneur de montagne qui tient le beau Fleuves et montagnes sans fin, blog littéraire et voyageur

(fenêtres d'un chalet
petit village de Boudin dans le Beaufortin
précise-t-il)
l'autre, un jardin écossais envoyé par Martine Derda, juste après la clôture de l'atelier d'écriture de la Bellevilloise où nous avions évoqué un certain nombre de lieux (maisons d'enfance, vues sur la ville, chambres d'hôtel...)

Je m'y promène, depuis.
Merci à eux.
Quant aux Vases communicants : ce matin, ma première curiosité a été d'aller voir ce que Martine Sonnet avait écrit chez Philippe Annocque et vice-versa (et je n'ai pas été déçue, vous les conseille). Pas eu le temps de m'y consacrer cette fois-ci, mais le mois prochain, je suis bien tentée de m'y remettre : à bon entendeur...
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