Plus court, plus court, ce quatrième épisode !
Où je demande des adresses pour l'envoi des services de presse.
Où je songe que Ile ronde = numérique + nature + légende + dialogues de théâtre en pensant que peut-être aucun de ces "milieux" n'y trouvera son compte...
ou peut-être que si ? Comment savoir ?
Je songe à une discussion que j'ai eue hier après-midi avec une éditrice qui n'a pas pris Décor Daguerre car elle publie des romans qui suivent davantage "un seul fil", mais m'a confirmé ce que je pensais : ce n'est pas ma voie, de toute façon. Ma voie est dans cette sorte de prolifération ordonnée. Je trouve que la photo ci-dessus résume assez bien la situation.
Dans le métro, je note quelques phrases, début d'un projet en cours qui n'est pas le même que le livre que j'ai commencé à écrire. Ni le texte sur Londres. Il faudrait encore faire un mail collectif, pour Ile ronde... Et pour Laisse venir ? Que peut-il se passer de plus en attendant le 23 novembre, date de présentation marseillaise à la villa Méditerranée ?
Les phrases du métro me reviennent en tête...
Ah, c'est sans fin.
il y avait ailleurs le journal de la nage; des choses bougent; les choses avancent; et nous autres les regardons croitre : il y faut un certain temps, une certaine patience, un certain regard; et aussi pas mal de courage (ne pas se laisser envahir par le travail - je parle pour moi) (ni par la phynance) Bon vent courage et tenir bon aussi
RépondreSupprimer