Torino, città chiusa, c'est un peu l'impression qu'elle donnait, ce midi du mois d'août, volets clos et rues vides, boutiques fermées per ferie ou parce que c'était l'heure.
Peu d'ombre aux bâtiments bizarres (des facs, souvent) et quarante degrés quasi n'aidaient pas à trouver le centre.
Mais un palazzo, porte ouverte, dont le nom est vite oublié, et voici
y trouver, à Turin, des sirènes sur les portes et le passage Pommeraye
fenêtres d'apparat ou cachées dans l'impasse
affiche d'exposition qu'on ne pourra pas voir mais qui revient en tête
et l'homme à la fenêtre c'est Marcello bien sûr
(d'atroces photos d'acteurs, dont la sienne, cernent le musée du cinéma : je vous les épargne. Voici plutôt la fondatrice du lieu)
Tu ne peux pas savoir combien ce billet vient à point nommé pour me mettre un peu de baume au cœur.
RépondreSupprimerMerci, merci, merci.
Lu le tien hier soir, durant les quelques minutes où la connexion fonctionnait, aussi je crois comprendre.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort. A bientôt.