Début de burn out, a-t-il dit quand je l'avais pensé le matin même.
Bon, alors, j'arrête tout.
Je pars me cacher, reviens plus tard.
Que personne ne me demande rien, surtout.
Plus tard, chercher les alliés : le chant des oiseaux, la fenêtre ouverte, Fip, les jeux de lettres force 1. La Salle d'embarquement de Jérôme Game dont le personnage est bien cramé, lui aussi. Lire par tout petits bouts, 10 minutes maximum.
(Marilyn inside)
C'est tout, c'est déjà trop, je ne peux rien noter de plus.
Noter quand même (sur l'émission) :
Dans la ville, tout est lié au temps humain, dit une voix d'homme (trop fatiguée pour mettre un nom), celui des horloges, des horaires, des calendriers, agendas alors que le sommeil appartient au temps animal, au temps naturel. La ville induit une compression de l'homme sur l'homme.
Ce qu'exige notre monde : que l'on puisse s'adapter de manière permanente à un monde impermanent, continue cet homme ou un autre. Autant placer un caméléon, non sur un tissu écossais, encore stable, mais sur un kaléidoscope, ajoute-t-il.
Plier comme le roseau, ne plus faire le chêne. S'accorder le droit d'être passif devant sa fatigue, l'écouter.
Je suis brûlée = je ne peux plus faire autrement que de la prendre en compte. Je ne peux plus lutter.
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