Tout à coup, ce matin du 1er janvier, j'ai pensé qu'il serait bon de reprendre ce blog autrement. Depuis plusieurs mois, plusieurs années même, il me sert simplement à annoncer ce qui vient. Le reste, liens quotidiens, photos, citations, paraît plutôt sur les réseaux sociaux.
Or je n'ai pas envie que Facebook me dise de quoi me souvenir au bout d'un, deux ou trois ans.
Je ris quand, en guise de rétrospective de l'année, il fait de Marilyn Monroe ma meilleure amie.
2018 s'annonce comme une année déjà bien pleine, riche : et si j'en revenais un peu à ce blog, Fenêtres, tout vieillot qu'il soit, pour en proposer un recensement ? Si, chaque semaine, je postais un article nourri au fil des jours de ce que j'aurai lu, vu, entendu, au lieu de tout éparpiller ?
On essaye ?
Ci-dessus, donc, le sol de la galerie photo de la librairie L'Esperluète, à Chartres, dont je reparlerai bientôt. Pour entendre le libraire parler de son travail, c'est ici.
... sol de la galerie qui, par ailleurs, rejoindra une petite collection, la terre vue du téléphone, que j'envisage et qui pour le moment est sur Facebook.
... à propos de collecter, je pense également photographier ces lieux dans lesquels on ne dort qu'une seule fois, tel ce "dormir à Clermont-Ferrand" de décembre 2017 (et s'en servir en atelier, peut-être ?).
Dire encore que ce début d'année 2018 pourra être surnommé : "De bruit et de douceur".
Pour l'instant, au 1er janvier, il est encore situé en 1960, sur le plateau de The Misfits qu'arpentent les photographes de l'agence Magnum (ci-dessous Eve Arnold).
Retournons-y, avant le premier recensement de la semaine prochaine, voulez-vous ? Et en attendant, très belle année à tous.
Bonne idée d'essayer ça :-) ça tombe bien avec mon voeu 2018 qui parle aussi de fenêtres. Je viendrai lire.
RépondreSupprimerAh oui, je vois ça :-)(le choix des fenêtres)
RépondreSupprimerA bientôt, alors, ici ou là, et merci pour ce commentaire
Joli titre, le semainier. Et puis, il y a urgence à reprendre la main sur les réseaux sociaux, je crois. Sinon il n'y aura bientôt plus de place pour la douceur, seulement le bruit...
RépondreSupprimerMerci de ce message.
RépondreSupprimerEt nous voilà déjà, à l'ancienne, à commenter dans l'espace des commentaires :-)