jeudi 25 août 2011

Deux semaines et puis

quelques cartes me parviennent encore


















sur sèche-linge rouillé



















avec manuscrit














avec mes propres livres, aussi, il fallait que ça arrive (document dans l'ordi, exemplaire publié) : on se relit pendant qu'on écrit et l'on se relit ensuite, différemment bien sûr, quand le contrat est signé, le texte paru, lu par d'autres et parfois commenté - on se relit s'il y a un projet de lecture publique ou autre événement, pas vraiment parce qu'on est fasciné par son oeuvre, c'est certain !
Relecture écriture avancent chez moi d'un seul pas. Il me serait impossible de pondre dix, cent, deux cents pages et de ne les relire qu'à la fin. Parce que ça n'avance pas comme si c'était de la prose ("pure et dure"), par méfiance envers le premier jet, par besoin de se rassurer, comme on préférera. D'où ma difficulté, entre autres, à écrire des cartes postales...

Ou alors peut-être faire comme Pierre Ménard, qui a placé ici le verso de celles qu'il m'a envoyées.

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