Par la baie vitrée on choisit le cadre, supprime les voitures, les immeubles laids.
Parfois on ne garde que le ciel.
On voudrait du panoramique, couper le souffle, écarquiller les yeux, coincer le cou de celui qui regarde le cadre, l'image cadrée.
Mais on ne sait pas faire, ou ne veut pas apprendre, ou préfère rester à regarder soi-même le cadre et le hors-cadre.
Finalement les immeubles y seront.
Zoom avant pour river son clou à la route, au parking, aux affiches.
Zoom arrière pour se rappeler les arbres.
A la volée, c'est tout.
Le trop de vitre, de ville, de vue ne sera alors ni montré ni dit.
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