jeudi 2 juin 2011

Oloé, J+10, à la porte




















Je me suis levée, j'ai hésité, puis traversé pour revenir à Paris. Dehors, beau temps et vent, quelques stands des puces par delà le pont. Je voulais aller lire avant de rentrer, un livre que je citerai demain, ici, et qui en ce moment me sert de boussole (physiquement : plus de 500 pages papier, je l'emporte partout avec moi, il pèse, centre de gravité, quand je l'ouvre, c'est au hasard).














J'ai tenté le café où j'allais à 16 ans, porte de Montreuil, mais non : terrasses combles et la radio à l'intérieur. Même chose dans la brasserie d'en face.













Jeudi de l'ascension : les travaux sur le boulevard Davout, fendu en deux, sont à l'arrêt. Entre les barrières et les plots, à quelques mètres à peine, trouvé une nouvelle terrasse. Du vent, toujours, qui fait battre le store, le parasol, et une circulation inexistante. Soleil, ombre, je peux choisir, changer de place. Le luxe, c'est un pull dans le sac.

En face, un homme à la fenêtre.
Une boutique Diamond bazar, autre nom pour Décor Lafayette, ce jour.

2 commentaires:

  1. c'est bien, "diamond bazar" (ça fait penser, un peu, à David Bowie, ou bien ?); les oloé : il y avait cette histoire de ce couple qui vivait dans le 11 et qui, chaque année, allait passer quelques semaines dans un hôtel d'un des autres arrondissements (ou encore ce livre magnifique "les aventuriers roissy-express")...

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  2. Oui, Diamond dogs (mais je n'y pensais pas).
    Et oui encore, Roissy sur mon étagère, là, pas loin...

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