Cet article aurait dû apparaître vendredi matin à 8h45, en même temps que mon dernier billet sur le 17 septembre dans la ville haute. Un bug de blogger en a décidé autrement.
Puisqu'il est à nouveau accessible, je le mets en ligne maintenant sans le modifier. Simplement, le décalage temporel le rend un peu fictif...
Le journal de publication de Franck, dans la ville haute, en arrive à la date du 17 septembre, qui revient à de nombreuses reprises dans mon livre.
Puisqu'il est à nouveau accessible, je le mets en ligne maintenant sans le modifier. Simplement, le décalage temporel le rend un peu fictif...
Le journal de publication de Franck, dans la ville haute, en arrive à la date du 17 septembre, qui revient à de nombreuses reprises dans mon livre.
Le 17 septembre 2010, j'ai marché dans Paris, ce qui est raconté ici.
La veille, j'avais demandé à un certain nombre de gens de prendre une photographie de cette journée et de me l'envoyer. J'en ai reçu trente et une, mises en ligne hier.
Voici maintenant les miennes, à retrouver au début du journal. Miracle de la pré-programmation, elles surviennent à la minute même où est posté ce billet. Si les choses se passent comme prévu, je suis à l'instant en train de pousser la porte de la bibliothèque Robert Desnos, entre dans l'atelier, vais probablement me connecter pour trouver un peu de neuf avant de retourner à mes petites affaires.
Ce qui m'occupera ensuite, ce sera peut-être la publication des Oloé chez D-Fiction (les fichiers pdf et epub sont prêts pour une mise à feu la semaine prochaine, je n'ai pas encore la date exacte), la rédaction de Décor Lafayette ou encore les circonvolutions de Dita Kepler, les prochains vases communicants, une nouvelle à rendre, la rencontre avec Pierre Ménard le 19 mai prochain à 19h...
Quoi qu'il en soit, sur ce blog comme sur l'autre, ainsi que sur celui de la librairie Dialogues à Brest, les derniers articles sur le 17 septembre paraissent. De cette date, dès lors, je ne m'occuperai plus.
Et mieux, beaucoup mieux, même : à partir de maintenant un écrivain prend la relève, s'en empare, en fait autre chose.
(à suivre)
photographie : fenêtre de l'atelier, bibliothèque Desnos, Montreuil
on a comme une certaine impatience à découvrir ce que l'auteur du "retour aux mots sauvages" va faire des tiens...
RépondreSupprimerune lecture est prévue en septembre - texte magnifique de Thierry, je tiens à le dire tout de suite !
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