D'abord aux Instants chavirés, il y a quelques mois (garder secrètes les photos du concert, ne conserver que les fenêtres).
travers
ce soir n'en voir que les travers
(mais c'est ça, aussi, de prendre le lieu pour personnage : parfois ce qui devrait rester neutre se grippe, se noue, se mue en dégoût, colère, le lieu lui-même n'y est pour rien).
C'est pourquoi chercher
à nouveau
les lignes de désir.
... mais parfois, des travaux parviennent aussi à embellir nos choix, ou nos directions, donnent plaisir à la découverte (comme on dit au cinéma), laissent libre le regard qui se porte alors plus loin (les lignes de désir quand on va au hasard), un peu comme ces immeubles à double entrée qu'on emprunte quand on se croit suivi (j'ai vu un film avec cela, récemment, pas moyen de me souvenir - mais "Pierrot le Fou", il me semble, ou alors "A bout de souffle", avec Jean Seberg qui s'est jetée sous le métro, tragique vie)
RépondreSupprimerDita K. (alias)
Merci de me remonter le moral, Dita K. (Dita K. très difficile à écrire, pas besoin de bâtons dans les roues, et pourtant il y en a) (tu me diras que les bâtons dans les roues, c'est le sujet de Dita K, d'une certaine façon, et c'est vrai) (ah, tout devoir transformer, tout le temps, pour reprendre la main, putain...)(suis rarement grossière, hein ?). Bon, heureusement que Dita K. existe et que c'est toi, par ailleurs ;-)
RépondreSupprimerUn café un de ces quatre ?
la semaine prochaine ou jeudi matin ?
RépondreSupprimerjeudi matin j'aimerais bien
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