Sur la photographie l'homme de dos, de nuit, s'abrite, c'est du moins ce que l'on peut croire à sa position sous le store, à ses épaules rentrées, au col relevé du manteau. Ou l'impression vient-elle d'une sorte de flou, décor de rue dont on ne sait s'il est de pluie, de brume ou simple projection d'une lumière très forte qui peut-être l'aveugle et dont la source à gauche est pour nous invisible.
(...)
(...)
Il a peut-être quelqu'un à battre, à tuer ?
"En couverture", Franck, pages 169-170
(la couverture d'un livre est elle aussi un lieu)
ça doit faire bizarre, ce titre, ce prénom, sur une couverture, comme ça qui existe, qui le (re)fait exister ou quelque chose... (j'en sais rien, en vrai...) on comprend un peu le chamboulement... on applaudit aussi (parce qu'on est content...!)
RépondreSupprimerOui, l'ambiguïté entre le titre du livre et le prénom de la personne, c'est sans arrêt en ce moment. En même temps je savais ce que je faisais en choisissant ce titre... Merci du soutien.
RépondreSupprimerBises
Anne