Seul(e) sur le quai de nuit, l'un des huit ou neuf quais de la gare d'Arras, à attendre le train.
Pas d'annonce, pas un bruit, sauf une sirène lointaine.
Il fait froid. Il y a bien un abri mais
Arras entraperçue, au pas de course toujours, de Béthune à Paris.
Ensuite, minuit à Gare du Nord. Sur la place, rue de Dunkerque, il y a foule. Ca pourrait être glauque (ça l'est), c'est surtout un joyeux bordel.
(allège le quai désert de la gare d'Arras tandis que du 26, arrivé à la seconde, je vois passer l'immeuble de Château-Landon)
Et j'avais raté ça.
RépondreSupprimer(sans compter que ma maman habite à 400 mètres de la gare, elle aurait pu te faire un expresso avec des douceurs aux amandes)
Et ton Arras à toi (http://tentatives.eklablog.fr/ville-fantome-a664718) posté le jour de l'anniversaire de la mienne, tiens... (c'est leur jour !)
RépondreSupprimerUn jour j'irai à Arras sans courir, peut-être...
c'est fou ça !
RépondreSupprimer(moi je n'y vais plus, souvenirs bof à n'avoir pas envie de les égrener alors)
Moi, les souvenirs, c'est plutôt Béthune (mais pas familiaux)...
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