jeudi 6 mai 2010

Arras, gare et correspondance




Seul(e) sur le quai de nuit, l'un des huit ou neuf quais de la gare d'Arras, à attendre le train.




Pas d'annonce, pas un bruit, sauf une sirène lointaine.









Il fait froid. Il y a bien un abri mais


















Arras entraperçue, au pas de course toujours, de Béthune à Paris.









Ensuite, minuit à Gare du Nord. Sur la place, rue de Dunkerque, il y a foule. Ca pourrait être glauque (ça l'est), c'est surtout un joyeux bordel.

(allège le quai désert de la gare d'Arras tandis que du 26, arrivé à la seconde, je vois passer l'immeuble de Château-Landon)

4 commentaires:

  1. Et j'avais raté ça.
    (sans compter que ma maman habite à 400 mètres de la gare, elle aurait pu te faire un expresso avec des douceurs aux amandes)

    RépondreSupprimer
  2. Et ton Arras à toi (http://tentatives.eklablog.fr/ville-fantome-a664718) posté le jour de l'anniversaire de la mienne, tiens... (c'est leur jour !)
    Un jour j'irai à Arras sans courir, peut-être...

    RépondreSupprimer
  3. c'est fou ça !
    (moi je n'y vais plus, souvenirs bof à n'avoir pas envie de les égrener alors)

    RépondreSupprimer
  4. Moi, les souvenirs, c'est plutôt Béthune (mais pas familiaux)...

    RépondreSupprimer