mardi 1 septembre 2009

retour

avec quelques nouvelles et projets dont parler ici très bientôt. En attendant, découverte d'un nouveau blog de Loran Bart, Les Lignes du monde (merci pour la citation...) et d'un article très instructif de François Bon sur Internet et la rémunération des auteurs.

Quinze jours sans connexion ou quasi ont fait du bien, aussi... Et sur cette plage à cailloux et coucher de soleil, j'y serais bien restée (à quand les droits d'auteurs qui permettent d'acheter une bicoque à la mer, hein ?)

8 commentaires:

  1. Ouais il est bien le lien "bicoque" mais faut pas s'arrêter là, je pense; aller plus loin, plusieurs bicoques tant qu'à faire... Le plan addictive à l'écran, tu en feras quelque chose avec tes fictions, là... Et bon retour !

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  2. Ah merde ton éditrice a pas aimé "franck" pour les "bonnes" raisons ?
    Alors d'un le truc est plus toi;
    deux : si c'est ça, c'est bien qu'on puisse en penser autre chose que ce que tu pensais y mettre;
    trois comme un : prends le pour toi, garde le avec toi (ce que tu en sens) tranquillement passe à autre chose;
    bon tout ça c'est juste de ma fenêtre hein... C'est grave mais dans deux ans, avec les 3 autres (sinon les six) qu'en restera-t-il ? Mollo, cool, tout baigne... Avec toi (et Dita)
    PdB

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  3. Non, t'inquiète, tout va bien, elle l'aime et pour les bonnes raisons, franchement. C'est moi, parce qu'il va s'échapper, devenir un livre, qui ai un petit coup de blues (comme un parent dont l'enfant quitte la maison, j'imagine). Rien de grave.

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  4. Tant mieux... je préfère... Bon, faut laisser les enfants partir (les miennes commencent ...)et être là en cas de besoin (style chagrin, difficultés économiques et tout le bazar comme nous : enfin essayer de pallier les coups et garder l'amour). Alors une éditrice avec qui tu t'entends, c'est une TRES bonne nouvelle... Bien, très bien

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  5. et devine quoi ? C'est au café que tu viens de juste mentionner dans tes carnets de travail que je l'ai rencontrée tout à l'heure. Ah c'est beau !

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  6. c'est un point, un pôle, un lieu autour duquel tourne la littérature (et la poésie), c'est simplement normal (Martine Sonnet a failli me croiser un samedi, sur cette même place, lorsque je parcourais les allées du salon de la poésie je crois bien)

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  7. Un conseil que je donne aux éditeurs, organiser et gérer au mieux (moins mal) la coupure du cordon ombilical entre auteur et œuvre. Une affaire de confiance, de moment opportun, de délégation et de responsabilité (savoir revenir vers l'auteur pour décision à bon escient, depuis la préparation de copie jusqu'à la mise en page, le façonnage, le lancement, ...)

    Et une idée que j'essaye de fonder, ce qui fait œuvre, et publication, c'est entériner l'appropriation par quelque lecteur que ce soit, à sa manière, de ce bizarre objet qu'est le livre, en constant devenir d'œuvre, hors des mains de son géniteur.

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  8. C'est sûr que plus ça va, plus l'appropriation par le lecteur (le lecteur, quel qu'il soit, nous sommes d'accord) me semble riche, nourricier, alors que seule l'écriture comptait au début... Quant au cordon, ça vient vraiment de moi, car elle a été très subtile.

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