Me revoici donc à squatter éhontément pour la troisième fois une page de la revue d'Ici là dirigée par Pierre Ménard et diffusée par les éditions publie.net. A ma décharge, disons que mon texte est très court : quelques lignes d'un passage de Dita Kepler inspiré par une chorégraphie au 104 avec bancs et bâche en plastique, dont on voit ici la préparation. C'est ce passage que Sophie Barbaux avait lu dans le jardin d'Eole, et par lequel j'ai terminé l'autre jour lors d'une lecture au Cinq (merci de l'accueil, Mélico).
A le lire seul, dans la revue, ce début de passage, j'ai l'impression que ce n'est pas d'une chorégraphie dont je parle...
D'ici là numéro 3 vient juste de paraître. On y trouve par exemple un texte très juste de Jérôme Orsoni, intitulé Acouphènoménologie, à propos de ce qu'il nomme la "muzak", cette musique, d'ascenseur ou non, omniprésente dans nos vies...
j'ai craqué les 5,5 euros mais depuis, (c'était hier soir) je n'ai pas sorti la tête du truc : j'ai du retard et les "indicateurs" n'attendent pas - dès que j'ai fini, je lis le truc;.. et cette Loire, alors, on n'en sait rien ? Une photo ou bien ?
RépondreSupprimerOui, j'ai fait des photos, mais n'ai pas le bon ordi pour les mettre en ligne. Essaierai demain. Coucher de soleil à tomber, pensé aux Eaux étroites de Gracq tout le temps, ça nous a changé du XIXe... J'ai plein de photos de fenêtres à poster, moi aussi ai du retard !
RépondreSupprimerDita Kepler est bien dedans, là, mais la musique, y'en a ? En réalité, voilà deux jours que j'essaye de comprendre comment faire marcher la musique avec la revue,mais ça ne veut pas le faire... Bon, on va voir comment faire (mais le texte : avec quelque chose comme une sorte de tendresse du 104 alors qu'il vient à peine de naître à ce quelque chose comme une performance, et je crois, surtout pour moi, le public qui ne le deviendra pas)
RépondreSupprimerPour le son, vais demander au patron !
RépondreSupprimerBises