C'est la première fois que j'organise ainsi une lecture à plusieurs, et j'ai bien sûr l'impression constante, malgré la vigilance, d'oublier quelque chose. C'est sans doute normal (?). Des questions très pratiques se posent, sur l'ordre de passage, sur ce qu'il faudra demander à la technique, etc. Tant de choses à penser que la fin effective de ma résidence au 104, le 30 juin, ne se pense pas du tout, elle, pour l'instant, ce qui n'est sans doute pas plus mal.
En réunion, mercredi dernier, on m'a demandé comment je l'envisageais, cette fin de résidence : à vrai dire je l'envisage en découvrant l'usage des cristaux de soude - permettent de lessiver les murs de la cuisine en écoutant Bowie en 73 ; en lisant d'une traite Rue de la peau, de Neil Bartlett ; en me disant que c'est l'été et que Dita Kepler vient à peine d'émerger d'un hiver rigoureux (lenteur, si grande lenteur de l'écriture) ; en emportant, surtout, le carnet dans lequel noter les coordonnées de tout le monde : des gens bien, j'en aurai rencontrés, au 104...
Nicole Roux de la Maison des petits, par exemple :
ou le collectif Works, des pros qui redeviennent amateurs (clin d'oeil, au passage, à Matteo, Chiara et à toute l'équipe du Cinq, bien sûr, qui m'a si bien accueillie durant six mois : Pier Granson, Juliette Alexandre, tous les agents d'accueil - Lya en tête, Alix, Deborah...) :
En réunion, mercredi dernier, on m'a demandé comment je l'envisageais, cette fin de résidence : à vrai dire je l'envisage en découvrant l'usage des cristaux de soude - permettent de lessiver les murs de la cuisine en écoutant Bowie en 73 ; en lisant d'une traite Rue de la peau, de Neil Bartlett ; en me disant que c'est l'été et que Dita Kepler vient à peine d'émerger d'un hiver rigoureux (lenteur, si grande lenteur de l'écriture) ; en emportant, surtout, le carnet dans lequel noter les coordonnées de tout le monde : des gens bien, j'en aurai rencontrés, au 104...
Nicole Roux de la Maison des petits, par exemple :
ou le collectif Works, des pros qui redeviennent amateurs (clin d'oeil, au passage, à Matteo, Chiara et à toute l'équipe du Cinq, bien sûr, qui m'a si bien accueillie durant six mois : Pier Granson, Juliette Alexandre, tous les agents d'accueil - Lya en tête, Alix, Deborah...) :
En même temps, le 104 te doit bien des choses (vous autres le faites vivre...) et ne va pas disparaître non plus : c'est bien de garder, c'est bien de continuer et de persister dans cette voie parce qu'elle est celle locale, importante, féconde et à ne pas oublier d'un certain imaginaire. A cultiver, peut-être, mais en tout cas, inscrit dans ta fiction : de ce mouvement, elle devient -aussi- réalité et c'est ce qu'il nous (nous autres, là, de l'autre côté, je pense suppose probablement) faut aussi parfois, certainement. Ce qui fait qu'on te remercie (et qu'on t'aide, tu vois ?)
RépondreSupprimerOui, oui, je vois très bien...
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