dimanche 7 juin 2009

Décor d'Eric Chevillard

Avant de commencer à écrire Dita Kepler, avant même de trouver son nom, j'ai pensé à Un fantôme d'Eric Chevillard, roman dans lequel Crab, personnage secondaire passé au premier plan, se métamorphose.
Avant-hier, c'était d'arrière-plan qu'il était question dans L'Autofictif :

Ne serait-il pas plus judicieux d’enregistrer notre vie sur le fond bleu des studios de cinéma afin de la diffuser ensuite dans le contexte le plus favorable à nos faits et gestes ?

se demandait Eric Chevillard. Judicieux c'est le mot, n'est-ce pas ?

2 commentaires:

  1. Judicieux, un peu, mais malheureusement, ce sont les studios de télé qui sont sur fond bleu...

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  2. Je crois qu'au cinéma aussi. Pour aujourd'hui je verrais bien le haut d'une falaise, de mon côté...

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