En mouvement, historiques, sous verrière... Vite vues, les fenêtres d'une ville dans laquelle on ne reste que quelques heures, dont on n'a le temps d'appréhender qu'une certaine douceur, peut-être illusoire.
Partout, Stendhal, où il naquit, où il vécut : même son grand-père porte plaque. Parfois, Rabelais aussi, et quelques autres.
Quand même, toujours les mêmes enseignes, les mêmes boutiques que partout : on est où ? A Grenoble ? Vraiment ? Alors, pour varier les plaisirs, ce magasin de chaussures et son nom franchouillard avec bottes vertes qui, à Hausmann, font chic.
Le type qui regarde sa montre, c'est bien juste génial (dernière photo, magnifique : tu te souviens, le second du Bounty, Marlon Brando avec les vahinées, (Fletcher) Christian, hein ?).
RépondreSupprimerEt Stezndhal, tu ne le savais pas, mais c'est monfavori. Pas à chier.
Sinon, ça va, toi ? demain midi j'y vais au 104
PdB
Ca va, je suis à 1800 mètres d'altitude maintenant : de quoi oublier le 104, que tu salueras pour moi, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerA bientôt,
Anne
(il y a le wifi à 1800m, mais pas très pratique tout de même : pas sûr que je poste beaucoup cette semaine...)