Pas d'exemplaire des CJ dans la boîte ce matin, c'est donc le dernier jeu d'épreuves en main que je commence à réfléchir à une lecture à haute voix du texte. C'est confirmé en effet : le 16 octobre prochain, aux Buveurs d'encre, il va falloir lire (au moins un peu).
Si lire ainsi un texte fragmentaire n'est pas forcément une difficulté en soi (au besoin, rien n'empêche de le réorganiser autrement), la complexité de cette lecture à voix haute tient ici dans le système de renvois et de boucles adopté lors de l'écriture : à l'intérieur de chaque fragment s'inscrivent de tout petits éléments qui renvoient à d'autres éléments de même taille. Plus le texte progresse, plus ils forment comme une boucle. Lire les premières pages, c'est vraiment risquer l'anecdotique (on ne peut pas deviner si telle ou telle notation a de l'importance, si on la retrouvera plus tard, ou non, sous un autre éclairage). Cependant couper, réorganiser le texte revient à en extraire des lambeaux de plus en plus fins : ça se dilue, se perd au profit du seul renvoi, ce qui n'a pas beaucoup d'intérêt. Casse-tête qui ne vient pas de la simple lecture à voix haute (j'écris à l'oreille), mais du fait de transmettre. Enfin bref... C'est mon problème, n'est-ce pas ?!
(pour se faire une idée de ce que j'entends par fragments, on peut se rendre sur le site de mon éditeur)
J'ai reçu par ailleurs messages et fenêtres depuis deux jours : merci à tous, je les diffuse très bientôt.
Si lire ainsi un texte fragmentaire n'est pas forcément une difficulté en soi (au besoin, rien n'empêche de le réorganiser autrement), la complexité de cette lecture à voix haute tient ici dans le système de renvois et de boucles adopté lors de l'écriture : à l'intérieur de chaque fragment s'inscrivent de tout petits éléments qui renvoient à d'autres éléments de même taille. Plus le texte progresse, plus ils forment comme une boucle. Lire les premières pages, c'est vraiment risquer l'anecdotique (on ne peut pas deviner si telle ou telle notation a de l'importance, si on la retrouvera plus tard, ou non, sous un autre éclairage). Cependant couper, réorganiser le texte revient à en extraire des lambeaux de plus en plus fins : ça se dilue, se perd au profit du seul renvoi, ce qui n'a pas beaucoup d'intérêt. Casse-tête qui ne vient pas de la simple lecture à voix haute (j'écris à l'oreille), mais du fait de transmettre. Enfin bref... C'est mon problème, n'est-ce pas ?!
(pour se faire une idée de ce que j'entends par fragments, on peut se rendre sur le site de mon éditeur)
J'ai reçu par ailleurs messages et fenêtres depuis deux jours : merci à tous, je les diffuse très bientôt.
Je peux noter le 16 octobre dans l'agenda alors.
RépondreSupprimerah volontiers
RépondreSupprimerou le 17 à l'Ogre à plumes si ça vous arrange... (mais je n'ai pas plus de précision pour l'instant)
j'ai dans l'idée que c'est un jeudi : je bloque aussi, alors...
RépondreSupprimeroui c'est un jeudi, ce qui arrange mon éditeur, qui sera là
RépondreSupprimeret l'Ogre à plume un vendredi, donc : c'est mieux ?
pour moi, jeudi c'est parfait...
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