Il fait 1 kilo 3 m'annonce le postier en me rendant mon manuscrit, qui a pourtant perdu 60 pages en passant de PC à Mac comme je le racontais l'autre jour. Si vous prenez le Colissimo, il arrivera sous 24 ou 48 heures poursuit-il. Bof, le comité de lecture va mettre au moins trois mois à me répondre, alors non, pas la peine, merci, lui dis-je, et je l'envoie en lettre simple. Il passe à grand peine par la fente, je récupère le carton dans lequel je l'ai apporté, m'en vais. Dans la rue ça s'allège un peu, épaules plus libres, alors qu'envoyer un texte par la poste rétame, impression de passer au rouleau-compresseur, de se traîner jusqu'au guichet, de se condamner soi-même (c'est débile, non ?). "Tu ferais mieux de penser à celui qui va sortir", me dit mon libraire. Mouais. Tu ferais mieux d'aller nager, me conseille Annie Leclerc. Justement la piscine rouvre, j'y cours.
OUi, tu ferais mieux de penser au suivant... Bonne continuation !
RépondreSupprimerPdB
Bien d'accord avec toi, d'autant qu'il est très agréable à écrire, celui-là, pour l'instant... mais bien sûr ça ne s'impose pas si facilement, ceux du fond de la classe ne se laissent pas évincer comme ça !
RépondreSupprimerMerci pour les encouragements, et les visites quotidiennes ici, ça fait du bien,
Anne
continue ...!
RépondreSupprimeramicalement
PdB