Bravo pour cette photo. Je l'ai au fonds de moi depuis les sorties du mercredi quand j'étais enfant. Juste avant la plongée sous terre, le wagon survole furtivement la ville orientale et le bazar surpeuplé. Ce ne doit pas être facile de la prendre depuis le métro. Au fait, je suis tombé sur votre blog en tapant "jaures stalingrad", titre d'une d'une veille chanson de rock de la Souris déglinguée. La photo de la "marquise de Barbes" est aussi extra. Cdlt.
Merci pour le commentaire. Moi aussi j'ai des souvenirs d'enfance du métro aérien, ce qui a peut-être joué quand j'ai eu l'idée de ce livre. La "ville orientale" continue en tout cas de se faire, se défaire, se refaire depuis. J'ai également filmé le parcours, il faudrait que je retrouve les fichiers et que je les mette sur ce blog... Sinon, c'est drôle en effet que la Souris mène jusqu'ici. Du coup je suis allée voir les paroles : je ne sais pas dans quel souterrain ils ont rêvé ce tapis roulant ! Pas entre Jaurès et Stalingrad, en tout cas (pour les non parisiens : ces deux stations ont des couloirs interminables, en coude. On croit toujours en avoir fini, mais le tournant vous rappelle que non).
Bravo pour cette photo.
RépondreSupprimerJe l'ai au fonds de moi depuis les sorties du mercredi quand j'étais enfant. Juste avant la plongée sous terre, le wagon survole furtivement la ville orientale et le bazar surpeuplé. Ce ne doit pas être facile de la prendre depuis le métro.
Au fait, je suis tombé sur votre blog en tapant "jaures stalingrad", titre d'une d'une veille chanson de rock de la Souris déglinguée.
La photo de la "marquise de Barbes" est aussi extra. Cdlt.
Jean-Marc Pannier
Bonjour Jean-Marc,
RépondreSupprimerMerci pour le commentaire. Moi aussi j'ai des souvenirs d'enfance du métro aérien, ce qui a peut-être joué quand j'ai eu l'idée de ce livre. La "ville orientale" continue en tout cas de se faire, se défaire, se refaire depuis. J'ai également filmé le parcours, il faudrait que je retrouve les fichiers et que je les mette sur ce blog...
Sinon, c'est drôle en effet que la Souris mène jusqu'ici. Du coup je suis allée voir les paroles : je ne sais pas dans quel souterrain ils ont rêvé ce tapis roulant ! Pas entre Jaurès et Stalingrad, en tout cas (pour les non parisiens : ces deux stations ont des couloirs interminables, en coude. On croit toujours en avoir fini, mais le tournant vous rappelle que non).
Amitiés,
Anne