Porte de Clignancourt, 1998 ou 99, devant le marché de voitures volées qu’on longe pour entrer dans Paris. C’est la fin du ramadan, il fait nuit, Paule Constant parle d’écriture à la radio. Puis on entend l’écho de créations sonores, viennent d’une galerie saturée de fumée. Une femme parle au portable, un Japonais s’exclame, tout le monde a une tête d’enterrement. Retour à la rue, manège illuminé de Répu, rideaux brodés et lustres en papier.
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