jeudi 26 juin 2008

on vous y oblige, comme ça se trouve

bon, ce n'est pas que j'aie spécialement envie de me citer, mais entre un mail et un coup de fil, à dix minutes d'intervalle ce matin, je clique sur ma lecture enregistrée (ci-dessous) à cet endroit précis : un jour, on ne peut plus tendre le cou davantage (...). Il faut fixer ailleurs ses points d'appui. On vous y oblige, comme ça se trouve. Comme ça se trouve. Ca tombe comme ça. Deux mois de préavis pour mettre le point final.

Justement, c'est à nouveau de ça que traitent le mail, le coup de fil. Encore un employeur qui se tire, un journal qui ferme.

J'ai toujours voulu écrire :

ça tombe

comme ça

(il fallait vraiment que ça tombe) et je n'ai jamais osé. J'aurais dû. Bis repetita. Et cette fois, il n'y a même pas de préavis.

Enfin bref.

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