vendredi 31 août 2007

Derrière le mur, brusquement




























on y est (et d'ailleurs c'est écrit : cliquez sur la photo, vous verrez bien)













mais ce n'est pas celui auquel vous pensez

jeudi 30 août 2007

Lus, vus, aimés

J'avais commencé à penser à cette liste pendant l'été, avec l'idée dès le départ de mêler livres et films sans les distinguer. Je pensais y mettre ceux que j'avais aimés sur le moment, avant (Chao Praya), pendant (12 soeurs slovaques, Fin d'automne) et après Berlin. Mais l'un d'entre eux, lu plus tôt, s'est mis à dépasser de l'étagère : Les Anges, Violeta. Ca ne m'étonne pas de lui. Quand je pense à mes deux dernières années de lectures je pense à lui. J'ai donc ajouté ceux qui s'imposaient, tout de suite, sans réfléchir : Claire Dolan, le deuxième film de Lodge Kerrigan ; Visages noyés, de Janet Frame ; ou encore Les Fenêtres murées d'Alexandre Vona, découvert comme le Calet, De ma lucarne, par hasard à la bibliothèque Villon. Il y en a, il y en aura d'autres.

Et à propos de bibliothèque, si on veut on peut toujours aller voir ...

lundi 27 août 2007

Le summum de l'immeuble A

était donc à Berlin (ou peut-être à Shanghai, sans rien dire de New York, peu importe). Se nettoyer le regard : tout simple, il suffisait d'un déplacement. Mais le déplacement est un luxe, souvent, dans nos têtes à la vitre.








Ne pas oublier que non.

jeudi 23 août 2007

Des blogs et des extraits

Un retour de Berlin et un crash de disque dur plus tard, avant de publier quelques photos prises ou non du métro de là-bas, juste un mot pour remercier deux blogs qui ont présenté mon livre pendant l'été. Il s'agit de celui de Bakelith et Lignes de fuite. On trouve leurs présentations ici et . Une boucle de plus, pour reprendre l'expression de Bakelith...
C'est drôle au passage de voir quels extraits ont été mis en ligne. Dans ce livre, tout a priori peut être extrait, collé, recollé ailleurs... Je dis "a priori" car, ayant dû en choisir plusieurs (d'extraits) pour une lecture à venir cet automne à Marseille, je me suis vite aperçue que les fragments de fragments à se suivre s'autodétruisaient. D'où la nécessité d'ajouter une contrainte pour se dégager de celle sur laquelle le livre s'est construit, par exemple, ou de rétablir sans le dire la chronologie d'origine du texte Garibaldi - Pelleport. Enfin bref...

samedi 11 août 2007

Deux heures à Paris


pour envoyer sur le blog ces premières fenêtres de Berlin...